DEPENDANCE A LA COCAINE COUNSELLING – CABINET PHILIPPE JACQUET & ASSOCIE A LONDRES
La dépendance à la cocaïne peut détruire des vies, des carrières, des relations et crée un grave risque pour la santé.
Les effets à long terme de la consommation de cocaïne
La cocaïne est une des drogues les plus largement utilisées dans le monde entier. Elle se trouve sous deux formes, la cocaïne en poudre et le crack. La cocaïne sous forme de crack, plus communément connue sous le nom simple de crack, est fumée, tandis que la poudre de cocaïne peut être utilisée de différentes façons, y compris par voie orale, inhalation, injection et par application locale. Ces deux formes ont un risque très élevé de dépendance et les utilisateurs constatent qu’ils ont besoin d’une dose de plus en plus élevée pour être satisfaits, augmentant le risque très réel de surdosage et des complications de santé graves.
Au Royaume-Uni, en dépit de la lourde peine pouvant aller jusqu’à une condamnation à vie en prison pour la consommation, ou jusqu’à 7 ans pour la possession, l’usage de la cocaïne est toujours aussi répandu. On estime que la cocaïne est la deuxième drogue la plus courante derrière le cannabis, pour tous les groupes d’âge. Le nombre de consommateurs de cocaïne se situe à près de 800.000 personnes, le groupe d’âge le plus touché étant les 16-19 ans. Environ 300.000 de ces consommateurs ont entre 16 et 24 ans. L’usage de crack est moindre, avec une estimation de 181.000 cas au Royaume-Uni.
La cocaïne peut, pour certaines personnes, être très addictive, même après seulement quelques utilisations. De nouvelles études sur les consommateurs de cocaïne, réalisées en Allemagne, ont permis la découverte d’une variante génétique qui serait 25% plus présente chez les personnes accrocs à la cocaïne, que les personnes déclarant consommer de la cocaïne lors de soirées entre amis, sans problèmes de dépendance.
The Dependency Issue
The reason that cocaine is so addictive for many people is because of the nature of the changes it has on the brain and its immediate effects. This is true whether it is smoked, snorted or injected. It enters the blood and travels to the brain where it stops the « feel-good » chemicals in the brain being re-absorbed. This overload of naturally occurring brain chemicals that cannot be balanced leads to the feelings of euphoria and happiness, self-confidence and the ability to accomplish anything that are reported with use.
As the brain tries to balance the chemicals and reabsorb them as in normal functioning, the entire brain chemistry changes. The user needs to consume more and more cocaine per use to get that same feeling of being on top of the world.
In turn, coming down from the high results in more significant symptoms. These include feelings of depressions and despondency, exhaustion and fatigue, anxiety, paranoia and irritability. In all, it is not pleasant and the addicts first impulse, and one they will act on if possible, is to use more cocaine to get back to that good feeling.
Le problème de dépendance
La raison pour laquelle la cocaïne est tellement addictive pour beaucoup de gens est liée aux changements qu’elle provoque dans le cerveau, et à ses effets immédiats. Cela est valable qu’elle soit fumée, sniffée ou injectée. Elle pénètre dans le sang et se déplace vers le cerveau où elle stoppe les substances chimiques de bien-être, étant alors réabsorbées par le cerveau. Cette surcharge de substances chimiques dans le cerveau, ne pouvant pas être rééquilibrée, conduit à des sensations d’euphorie et de bonheur, de confiance en soi et une impression de pouvoir accomplir quoi que ce soit, grâce à son utilisation.
Comme le cerveau essaie d’équilibrer les substances chimiques en les absorbant pour tenter de retrouver son fonctionnement normal, l’ensemble de la chimie du cerveau se modifie. L’utilisateur a besoin de consommer de plus en plus de cocaïne pour obtenir ce même sentiment d’être « sur le toit du monde ».
En retour de cette consommation excessive, nous dénotons d’importants symptômes tel qu’un sentiment de découragement, des dépressions, de l’épuisement et de la fatigue, de l’anxiété, de la paranoïa et de l’irritabilité. En définitive, cette situationn’étant pas agréable, les toxicomanes ont, dès leur première crise de manque, le besoin irrésistible d’utiliser plus de cocaïne pour revenir à un état de bien être.