THERAPIE DE COUPLE COUNSELLING – CABINET PHILIPPE JACQUET & ASSOCIE A LONDRES
Beaucoup de gens ont fait l’expérience de relations problématiques, malsaines et peu satisfaisantes.
Comprendre les modèles de relations malsaines en thérapie de couple
Nous, les humains sommes programmés, voire voués à entretenir une relation. Il s’agit probablement d’une combinaison de la nécessité pour l’espèce humaine, de continuer à se reproduire. Pour survivre, de nos propres besoins de compagnie, de nos beoins d’amour et de soutien d’une autre personne. Pour de nombreuses personnes, les relations ont été problématiques, malsaines et peu satisfaisantes tout au long de leur vie. Nous devons déterminer pourquoi ces modèles de relations malsaines se reproduisent. Cela est un objectif commun, du patient et de son conseil, lors de la thérapie de couple.
Dysfonctionnement dans la famille
En tant qu’êtres humains, nous avons tendance à reproduire des modèles de comportement. Puis des expériences que nous avons vécus auparavant. Même si ces expériences ne sont pas saines, ou ne sont pas ce que nous désirons. Elles sont ce que nous connaissons, et ce sont celles avec lesquelles, dans une certaine mesure, nous sommes à l’aise.
Quand notre famille d’origine est dysfonctionnelle, nous avons tendance à incorporer ce dysfonctionnement dans nos propres relations. Par exemple, si nos parents n’avaient pas de limites et de compétences parentales appropriées. Nous vivions certainement dans un ménage chaotique. Pour nous, le chaos est alors normal, tout comme la façon dont l’unité familiale fonctionne. Il est donc possible que nous choisissions d’avoir une relation avec des personnes qui n’ont pas la capacité de s’engager. Et qui manquent de structure ou de limites. Si l’un de nos parents avaient un problème d’alcool ou de drogue, nous pourrions, sans nous en rendre compte. Sans doute ils choisiront un partenaire qui a la même dépendance, et tenter de régler le problème. Pour finalement découvrir que nous ne pouvons pas. Contactez-nous pour thérapie de couple.
Dans certains cas, nous pouvons faire exactement le contraire que ce que faisait notre famille d’origine. Nous pouvons choisir un partenaire qui a le contrôle, si nous-même n’avions aucun contrôle, ou accepter la violence verbale ou physique, que nous voyons à tort comme punition méritée pour avoir enfreint les règles.
L’addiction à la relation
Dans certains modèles de relations, la relation elle-même devient l’aspect le plus important, et non pas le bonheur du couple. Les gens peuvent rester ensemble de peur d’être seul, de ne pas être en mesure de trouver quelqu’un d’autre, ou par crainte de ce que les autres peuvent dire.
Dans ces situations, les hommes et les femmes peuvent rester dans des relations abusives et très mauvaises, en raison de leur manque de confiance et d’estime de soi. Ils peuvent croire que la violence est justifiée, ce qui est une pensée et une croyance dangereuse. Nos spécialistes vous aiderons étape par étape pour la résolution des problématiques de la thérapie de couple.
Les gens qui sont dépendants d’une relation peuvent également devenir instables si la relation se termine. Cela pourrait inclure d’avoir des comportements de harcèlement, ou de devenir obsédé par l’envie de se retrouver avec le partenaire, qui souhaite simplement que ce soit fini.
Les raisons pour lesquelles les gens tombent dans des modèles répétitifs de relations malsaines doivent être découvertes, avant que des changements surviennent dans la façon dont ils choisissent leur prochain partenaire. Mais il est bon de savoir que vous pouvez découvrir ces causes, et apporter des changements grâce à l’aide d’un conseiller qualifié. Une fois que vous êtes capable de vous voir d’un point de vue différent, vous pouvez évaluer les relations futures, et faire de meilleurs choix. En retour, vous pouvez avoir une relation heureuse, satisfaisante et être engagé avec quelqu’un que vous aimez vraiment et qui vous aime honorablement. Decouvrez notre nos conseils en dépendance au sexe.
CABINET PHILIPPE JACQUET & ASSOCIE
Posté par : Philippe Jacquet